Cobe à croissant

Même si la faune n'est pas aussi impressionnante que celle des grands parcs voisins de Tanzanie ou du  Kenya, je me suis régalé à observer les nombreux animaux.
Il m'en faut peu, de toute façon. Dès que j'aperçois la moindre bestiole et que je peux la photographier, je suis le plus heureux des hommes.
Je ne sais pas ce que c'est d'être blasé, et tant mieux d'ailleurs !

Vervet
 

Le plus pénible fut de lutter contre les centaines de taons présents dans les zones marécageuses.
Gilbert nous avait pourtant prévenus : "Faites attention aux taons !" nous avait-il dit.  Nous lui avons répondu : " Mais oui, mais oui, ce ne sont pas quelques mouches qui vont nous pourrir la vie quand même !"
Une règle d'or que nous avons apprise ici : toujours faire confiance à ceux qui savent...

Impala

C'était par moment plus qu'horrible. On ouvrait vite les fenêtres pour prendre les photos et on passait cinq à dix minutes à tuer les taons rentrés dans l'habitacle. On se filait des baffes ou des coups de casquettes. De plus, nous n'avions pas l'air conditionné et étions obligés, étant donnée la chaleur étouffante, d'ouvrir de temps en temps les vitres. Heureusement qu'il n'y en avait pas  partout...

Phacochère
 

Après une bonne journée d'observation, nous avons quitté le parc par le nord et sommes rentrés à Kigali en début de soirée.
Ce parc restera pour moi un super souvenir, à l'image de tout notre séjour ici.

Bubale

Encore un grand merci à Gilbert et à sa famille sans qui notre voyage n'aurait pas eu la même saveur.